Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (3) : La Rencontre Avec Philippe.
Je poursuis mon récit par un moment décisif et explosif : celui de la rencontre entre lhypersexuelle et le candauliste, entre moi Olga et Philippe, lhomme de ma vie, celui grâce à qui, lui et moi, sommes allés au bout de nos fantasmes.
Nous sommes un couple improbable. Je ne peux faire la comptabilité des hommes avec qui jai couché depuis que je connais Philippe. Il nest évidemment pas celui qui me donne le plus de plaisir, il est celui qui ma donné et me donne le plus grand amour. Notre complicité est immense et mon plaisir est décuplé quand il est présent et que je suis sous le joug dun amant. Je sais que Philippe est heureux de cette situation quil a tant voulue. Je vais donc parler de notre rencontre et de notre mariage.
Dans mon précédent texte, jai évoqué ma période lycéenne et étudiante, qui a forgé définitivement mon hypersexualité. Ais-je essayé, depuis ma puberté et la découverte des très importants besoins de ma libido, de me calmer ? Eh bien oui, à partir de la fin de mes études et jusquà ce que Philippe, en 2007, ne parvienne définitivement à assouvir ses fantasmes candaulistes. Enfin tout est relatif, comme je vais lexpliquer.
Mes frasques ne mavaient pas empêché de faire de brillantes études et de décrocher dans mon pays un poste de haut-fonctionnaire qui me permettait de voyager régulièrement, en particulier au sein de la Communauté européenne.
Mon début de carrière était un des éléments qui poussaient à me calmer (un peu).
En dehors du travail, je continuais à collectionner amants et maîtresses. Au travail, je me méfiais un peu, par prudence et pour conserver ma liberté. Je ne mavançais que quand le terrain me semblait favorable. Jai notamment découvert le plaisir particulier de faire lamour sur le lieu de travail.
Lors de mes déplacements, beaucoup de mes collègues des autres Etats membres comprirent assez vite quOlga nétait «pas farouche». Ils se passaient linformation et le soir venu, lun dentre eux venait frapper à la porte de ma chambre dhôtel.
Mes collègues senhardissaient, exigeaient que je porte des jupes courtes, des robes avec des décolletés vertigineux, et bien entendu pas de culotte. Mes voisins de table ne se gênaient pas lors des réunions pour poser une main sur ma cuisse puis remonter jusquà attendre ma chatte, où ils pouvaient constater que je mouillais et que jétais déjà ouverte. Bien souvent il mest arrivé de me faire doigter à ces réunions et il me fallait faire des efforts surhumains pour ne pas crier ma jouissance. Moi aussi, je ne me suis pas gênée pour caresser et branler mes voisins ou doigter mes voisines, je poursuivais jusquau moment où je recueillais sur mes doigts leur sperme ou leur cyprine, que je portais ensuite triomphalement à mes lèvres. Certains sont allés jusquà me faire sortir pour se faire tailler une pipe ou me baiser sauvagement dans les toilettes.
Ceci nétait pas réservé à mes homologues masculins. Mon attirance pour toute forme de plaisir sexuel, et donc pour le plaisir entre femmes, devait se sentir. Je raconterai une autre fois comment ma collègue anglaise, Ann et néerlandaise, Ursula mont dragée puis rejointe dans ma chambre, où nous avons passé la nuit à nous gouiner. Ce fut mon premier trio lesbien, trio que nous avons prolongé lors des réunions suivantes et pendant les vacances dété suivantes, où mes deux amantes vinrent me rejoindre une dizaine de jours. Pour Ann, à lapparence si coincée, cétait une découverte. Ursula, lesbienne exclusive, était tombée amoureuse de moi et voulait que je la rejoigne à Amsterdam pour que nous vivions ensemble.
Dans ce contexte, la rencontre avec Philippe fut une rupture. Philippe était mon nouveau collègue français. Il avait une bonne dizaine dannées de plus que moi (13 ans exactement). Il brillait lors des réunions, par sa connaissance des dossiers, son sens de la répartie, sa culture. Physiquement, il ne correspondait pas au type dhommes que javais collectionnés depuis la découverte de ma sexualité. Sans être chauve, il est dégarni, il mesure 1M74 et il a un peu de surpoids. Je reparlerai plus loin de son comportement au lit. Il navait donc rien susceptible a priori de mattirer.
Et pourtant, je me sentais poussée vers lui. Jai toujours adoré la langue et la culture française. Javais bien constaté quil me dévorait des yeux. Il ma avoué ensuite que, dès le début, il était tombé amoureux fou de moi. Ses collègues ne lui avaient pas caché ma réputation et ce quils faisaient avec moi et lui avaient dit « vas-y, tu ne le regretteras pas, elle est exceptionnelle.»
Mais lui ne me voulait pas pour une nuit, il rêvait de mavoir pour la vie. Il sétait dit que jétais celle avec qui il pourrait accomplir tous ses fantasmes et en particulier le candaulisme. Ses deux précédentes compagnes lavaient quitté, la première parce quaprès avoir cédé aux encouragements de Philippe à prendre un amant, elle avait fini par tomber amoureuse de cet homme. Philippe avait connu ladultère, pas le candaulisme, car elle sétait refusée à donner à Philippe ce quil aime tant et que je lui ai offert par la suite, à savoir être le complice, le témoin du plaisir de la femme quil aime.
Philippe est arrivé dans ma vie à un moment où jétais dans une fuite en avant, où je ne parvenais pas à maîtriser mon hypersexualité, où malgré mes précautions elle était susceptible davoir des conséquences négatives sur ma vie et ma carrière. Javais lenvie de me stabiliser, de rencontrer celui que jadmirerais et aimerais, avec qui qui je construirai un couple et une famille. Et je ne sais pas pourquoi je me suis dit « pourquoi ce ne serait pas lui ? »
Je me suis mise à lui faire du « rentre dedans », à faire en sorte dêtre le plus souvent possible sa voisine de table pour quil puisse bien admirer mes jupes courtes et mes jolies jambes. De même, je faisais en sorte quil puisse bien mater mes petits seins. Je voulais le rendre fou de désir.
Il a fini par minviter à diner. Un des meilleurs restaurants de Paris. Javais sorti le grand jeu, en mettant ma robe la plus sexy, dos nu, fendue jusquaux hauts des cuisses, particulièrement décolletée. Absolument provocante et indécente. Evidemment ni soutien-gorge ni culotte, pas même un mini-string. Je métais outrageusement maquillée, je portais des talons aiguille qui mettaient en valeur mon joli cul. Jétais particulièrement excitée. Moi qui avais connu tant damants, je voulais ce type. Les autres convives se retournaient sur mon passage, les femmes menvoyaient un regard courroucé, les hommes auraient voulu être à la place de Philippe.
Cest moi qui lui ai demandé de me tutoyer. Pendant tout le repas, jai été sous lemprise de lintelligence, de la culture et du charme de Philippe. Mais aussi je ressentais une immense frustration. Pour la première fois de ma «carrière» de séductrice, alors que mes intentions me semblaient transparentes, lhomme avec lequel je voulais passer la nuit ne faisait aucun «geste déplacé», alors que je nattendais que ça. Il sest juste contenté de mettre sa main sur la mienne.
Je me suis demandé sil était pédé. Jai su plus tard que Philippe refoulait sa bisexualité, quil a finie par assumer grâce à moi et jai beaucoup de plaisir à voir mon chéri sucer une belle queue et se faire prendre devant moi.
Je suis même allée jusquà renverser un peu de sauce sur son pantalon. Jai fait celle qui navait pas fait exprès et je me suis empressée de nettoyer la tâche avec une serviette et de leau. Jai fait ça avec tout mon art et je lai caressé jusquà ce quil jouisse abondamment dans son slip. Ce moment valait tous les aveux de ma part et de la sienne.
Quand nous nous sommes séparés, Philippe ma remercié pour cette «délicieuse soirée». Il a voulu membrasser sur les joues, cest moi qui ai cherché ses lèvres et ce fut notre premier baiser damoureux. Ce premier baiser dura une éternité et ne sinterrompit que parce que nous devions reprendre notre souffle. Il embrassait mieux quaucun de mes amants avant lui. Jen avais profité pour prendre ses mains et les mettre sur mes fesses, me serrer contre lui pour quil sente mon désir et que je sente le sien. Et pourtant, ce soir-là, il ne sest rien passé.
Jamais un homme ne sétait comporté ainsi avec moi et navait pas donné suite à mes avances. Jétais furieuse et frustrée, au point de mêtre offerte cette nuit-là au gardien de lhôtel, un beau black à qui jai demandé de me baiser « comme la dernière des putes» pour apaiser ma frustration.
Le comble est que ce petit jeu sest prolongé quelques mois. Ca me rendait folle, je ne comprenais pas. Il me contactait tous les jours, à chaque fois que nous pouvions on se retrouvait pour diner, visiter un musée, une exposition.
Jai fini par craquer :
Philippe, je ne te plais pas ? Tu ne me trouves pas jolie ? Tu nas pas envie de moi ?
Tu es la plus belle femme que jai jamais rencontrée, Olga. Je suis fou de toi. Mais jai si peur de te décevoir, de ne pas être à la hauteur. Et je taime comme je nai jamais aimé de ma vie
Je vais te dire ce que je nai jamais dit à un homme : je crève denvie dêtre à toi, je taime !
Je veux plus quune liaison, Olga, je veux être à toi pour la vie.
Tu veux que je sois seulement à toi ?
Jamais je nexigerai de toi la fidélité, au contraire. Tu es trop belle pour te contenter dun seul homme, surtout sil sagit de moi.
Alors, ce soir, tu vas passer la nuit avec moi. Et je serai à toi, ta femme, ton épouse.
Ce soir-là, nous sommes revenus à pied à mon hôtel, dans le quartier latin. Nous avons pris tout notre temps. Nous nous sommes arrêtés pour nous embrasser. Nous étions en juin, je portais un chemisier échancré, sans soutien-gorge. Philippe ouvrait les boutons et de ses mains, de sa langue, portait toute sa tendresse sur mes seins. Les pointes se dressaient fièrement, exprimant mon désir et mon excitation. Jaurais été prête à ce quil me prenne dans la rue.
Arrivés à la chambre, nous sommes déshabillés. Javais compris quil ne fallait pas le brusquer et quil fallait le mettre en confiance. Jamais je nai eu de préliminaires aussi longs avant le coït dont javais pourtant tant envie. Javais tant envie de masturber et de sucer la queue de celui qui était désormais à moi. Cette verge était loin de la taille de celle de mes amants habituels, mais je la voulais car elle était celle de lhomme avec qui je liais mon destin.
Il ma interrompu en me disant :
« Mon Olga, tu suces comme une déesse, jai peur de venir trop vite, laisse-moi moccuper un peu de toi.
Mon bébé, jai envie de toi, de ta queue dans ma chatte, dans mon cul, dans ma bouche. De tes mains, de tes lèvres sur mon corps. Les autres hommes mont baisée, toi, mon chéri, tu vas me faire lamour ».
Et en effet, les préliminaires ont duré longtemps. Philippe était en adoration. Ses mains, ses lèvres, sa langue parcourait mon corps. Je fermais les yeux, me laissant envahir par la tendresse. Aucun amant ne sest autant attardé sur mes seins que Philippe. Ils sont plutôt petits (90b) mais très sensibles. Les caresses, une langue sur mes pointes, des lèvres qui sucent mes tétons ça me rend folle. Et cest ainsi que jai joui une première fois, simplement en touchant mon bouton damour. Jencourageais Philippe, mais jimaginais, dès ce moment-là, dautres mâles, plus virils, plus brutaux, me prendre sans ménagement pendant que mon chéri maccablait de tendresse.
Philippe me regardait, inquiet, pensant quil avait tout gâché. Je le rassurai :
Continue, mon amour, ne tinquiète pas, je suis une femme qui est capable davoir plusieurs orgasmes.
Il approcha de ma chatte qui était trempée et béante. Il se mit à me lécher, me pratiquant un cunnilingus que seules quelques-unes de mes amantes savaient mieux pratiquer.
Oh oui, mon chéri, suce mon clito, enfonce ta langue dans ma chatte, vas-y narrête pas, enfonce bien ta langue, bouffe moi la chatte ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii
Je maintenais sa tête contre ma chatte avec force, au risque de l. Je nimaginais pas, à ce moment-là que, dans quelques années, cet homme, devenu mon époux, irait nettoyer ma chatte pleine du sperme de mes amants. Il menvoya en lair pour la seconde fois. Javais trouvé un homme dont la seule préoccupation était mon plaisir.
Nous firent une pause, autour dune coupe de champagne. Jaurais voulu moccuper de lui, mais il nen avait pas fini avec moi.
Il se mit à me doigter la chatte et le cul. Je lencourageais :
Oh oui, jaime ça ! Vas y, mets un second doigt !
Je le poussais à mettre un troisième, ça entrait sans problème. Soudain je lui ai dit :
Mets-moi tout la main, jen ai envie !
Jai peur de te faire mal, de te déchirer.
Je suis si ouverte et si mouillée que je suis prête. Tu as une main fine. Je ne lai jamais fait, mais jen ai envie. Je ne peux pas toffrir le pucelage de ma chatte ou de mon cul, je les ai perdus il y a déjà un moment, mais cette fois tu seras le premier à me faire ça.
Philippe est allé à la salle de bain, pour se laver soigneusement la main et pour bien lubrifier son avant-bras. Pendant ce temps, javais sorti mon gode le plus impressionnant et je me lenfonçais dans la chatte, jusque la garde.
Philippe sest approché de moi. Nous nous sommes longuement embrassé, pendant que, de sa main gauche, il actionnait le gode pour me baiser.
Vas-y mon amour, je suis prête. Fiste moi !
Philippe y allait doucement, ayant serré ensemble le plus possible ses doigts.
Oui, maintenant ! Ohhhh mon Dieu, que cest bon. Rentre ton bras le plus possible, oui, comme ça.
Il était passé et la douleur, forte au départ, était remplacée par le sentiment dêtre remplie comme je ne lavais jamais été.
Philippe prenait dinfinies précautions pour ne pas me faire mal. Nos baisers interrompaient mes cris, mes hurlements de plaisir. Les voisins de chambre devaient penser quon était en train de mégorger.
Oh Philippe, tu mas fait attendre si longtemps, je savais quavec toi je ferai des choses que je navais jamais imaginées.
Tu aimes les gros calibres mon Olga. Je te trouverai des mâles qui te rempliront bien.
Ne dis pas de bêtises, je nen veux pas, jai toi désormais.
Philippe en profita pour me doigter le cul. Jaime me faire sodomiser et je lui ai demandé de remplacer son doigt par le gode, qui était de bonne taille car ma « porte étroite » avait déjà été bien préparée par plusieurs amants.
Oh chéri, que cest bon. Casse-moi le cul pendant que tu me baise avec ton avant-bras ! Je taime, Philippe T. je suis à toi !
Dès ce premier soir, il dévoilait son candaulisme.
Je timagine embrochée entre deux mâles qui te besognent. Et même un troisième qui te baiserait la bouche. Tu ferais ça devant moi, mon amour, je le veux.
Ses paroles mexcitaient et jatteignais un état de retour. Ma jouissance fut dévastatrice. On dit que lorgasme est une petite mort, je confirme, car ce soir-là je me suis presquévanouie :
Oh Philippe, mon amour, narrête pas ! Bien au fond, oui, comme ça. Oh je vais mourir. Je taimeeeeeeeeeeeeeeee. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Philippe se retira de ma chatte avec précaution, toujours ce souci de ne pas me faire mal. Il se montra ensuite dune grande tendresse. Jétais blottie contre lui, apaisée, heureuse, amoureuse. Mais il me manquait quelque chose. Il navait pas joui, trop occupé à mon seul plaisir.
Philippe, jai envie de toi. Baise-moi.
Chérie, jen ai envie, mais après ce quon vient de faire ça va te sembler bien fade. Tu dois être fatiguée.
Tais-toi, jai envie de toi, je veux ça depuis des semaines, ta queue en moi, que tu te vides dans ma chatte, que tu me fécondes. Je suis ta femme, je veux ta semence en moi!
Je me suis mise à quatre pattes :
Viens me la mettre. Prends-moi en levrette !
Je ne me rendais pas compte que je le dominais et que je me servais de lui comme dun instrument de plaisir. Il se positionna derrière moi et me pénétra dans cette position, qui est celle que jaffectionne le plus. Ses couilles pleines tapaient sur mes fesses.
Il me besognait du mieux quil pouvait, mais il avait raison. Par rapport à mes amants habituels et surtout à ce que nous venions de faire, je ne sentais pas grand-chose. Et surtout depuis le temps quil retenait son plaisir il ne pouvait tenir longtemps. Jai alors senti plusieurs giclées puissantes envoyées dans mon vagin.
Jétais effectivement épuisée par tout ce que nous venions de faire. Mais je nen navais pas fini tant que je navais pas bu son sperme. Ce fut à mon tour de le caresser, de le couvrir de baisers pour revigorer sa virilité. Grace à mon art, jy suis parvenue assez rapidement. Je lai alors pris en bouche, lui administrant une fellation comme jen ai le secret. Je le prenais bien au fond de ma bouche, dautant plus facilement que sa queue était de taille moyenne. Je gobais ses couilles, ma langue prodiguait une douce à son gland.
Avec ce traitement, il ne pouvait résister longuement. Ce fut à son tour de connaitre cette petite mort, après quil mait envoyé au fond de la gorge de bonnes giclées de nectar. Jaime le sperme, son goût fort et jaime avaler. Avec Philippe, dès le lendemain matin, la première chose que je fis alors quil dormait encore, fut de le pomper. Cétait désormais un rite entre nous et il mapporterait ma dose de sperme.
Javais passé une nuit inoubliable. Mais dès cette première fois, notre relation ne fut pas classique. Javais trouvé un homme qui maimait à la folie et dont le seul but était, non seulement de me rendre heureuse, mais dont la préoccupation principale était mon plaisir. (A suivre)
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